Avril 2016
En cherchant à interroger certains faits divers, j’ai été interpellé par la force que dégageaient les lieux d’agression ou de victimisations secondaires.
Ils résonnent comme des scènes de déjà vu, oppressantes pour les victimes lorsqu’elles se trouvent dans les lieux semblables à ceux des agressions.
Ces lieux rappellent quotidiennement à la victime ce qu’elle a vécu, des fragments de souvenirs qui ne se font pas oublier.